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lunes, 12 de julio de 2010

L'ESPAGNE CHAMPIONNE DU MONDE









L’Espagne, grâce à Andres Iniesta au bout de la prolongation, a remporté pour la première fois de son histoire la Coupe du monde football, en battant les Pays-Bas 1 à 0 après prolongation, en finale de la XIXe édition, dimanche au stade Soccer City de Johannesburg. Au terme de cette finale inédite dans l’histoire, l’Espagne devient le huitième pays couronné, et par la même occasion le premier Européen à s’imposer dans un tournoi disputé en dehors du Vieux Continent. Championne d’Europe il y a deux ans, la Furia Roja réussit un doublé Euro/Mondial que seule l’Allemagne a réussi dans cet ordre en 1972/1974. Pour les Pays-Bas, comme en 1974 et en 1978, cette troisième tentative en finale n’aura donc pas été la bonne, contre des Espagnols dominateurs et victorieux par le plus petit score, comme en 8e (Portugal), en quarts (Paraguay) et en demi-finale (Allemagne). Andres Iniesta, au bout de la prolongation (116), a délivré l’Espagne en reprenant d’une demi-volée croisée une passe de Fabregas, récompensant la constante domination de son équipe. Après une première période tendue et entachée de fautes (il y aura eu au total dans le match 15 cartons jaunes et l’exclusion de Heitinga), les Oranje se procuraient à l’heure de jeu leur plus belle occasion. Sneijder trouvait superbement en profondeur Robben qui perdait son duel face à Casillas (61). Mais par la suite les Espagnols imposaient enfin leur jeu. Sur un centre du virevoltant Navas, entré en jeu, Villa manquait sa balle de but, contré par Heitinga (70). Sergio Ramos, excellent, voyait ensuite sa tête passer au-dessus (77), avant que Robben ne cause une nouvelle frayeur aux Espagnols. Lancé par van Persie, il grillait Puyol, mais Casillas aux aguets anticipait (82). Dans le premier acte de la prolongation, la Roja avait trois grosses occasions en cinq minutes. Fabregas, lancé par Iniesta, perdait un face à face devant Stekelenburg (95). Le même Iniesta manquait ensuite de lucidité dans un trois contre un. Puis Navas voyait une frappe déviée par van Bronkhorst faire trembler le petit filet extérieur. Puis Iniesta délivra la Roja…



Le t-shirt d’Iniesta, hommage à un compatriote décédé

Andres Iniesta a enlevé son maillot après son but victorieux contre les Pays-Bas dimanche en finale de la Coupe du monde, pour dévoiler un t-shirt rendant hommage à Dani Jarque, un joueur de Barcelone mort en août 2009. « Dani Jarque siempre con nosotros » (Dani Jarque toujours avec nous), avait écrit Iniesta sur son t-shirt. Jeune espoir de l’Espanyol Barcelone, l’autre club de la grande ville catalane, Jarque avait été international moins de 21 ans, avant d’être fauché par une crise cardiaque l’an dernier pendant la préparation d’avant-saison avec son club. Une semaine après son décès, Cesc Fabregas, qui avait joué avec Jarque en moins de 21 ans, lui avait également dédié un but qu’il avait marqué avec son club anglais d’Arsenal.



David Villa : « Je suis enchanté, heureux, fier »

« Je suis enchanté, heureux, fier que mes parents m’aient fait en 1981 et permis d’appartenir à cette magnifique génération. Il faut savourer, tout le pays doit savourer. Enfin, enfin, on va pouvoir oublier toutes les péripéties de l’Espagne en Coupe du monde. Je pense à toutes ces générations qui ont travaillé comme nous et qui n’ont pas réussi, ceux qui ont souffert, pleuré. Pour moi et pour beaucoup d’Espagnols, c’est le jour le plus beau de notre vie. Si on doit être fiers de quelque chose, c’est de n’avoir jamais changé notre style de jeu, contrairement à d’autres sélections quand elles ont joué contre nous. Les matches ont été compliqués, se sont fermés, mais l’Espagne a toujours gardé sa philosophie, et c’est surtout grâce à ça qu’on mérite ce titre de champions du monde ».



Paul le poulpe, l'autre champion du monde

Huit sur huit. Un taux de réussite exceptionnel que même la Roja, nouvelle championne du monde, n'aura pas réussi à atteindre. Paul le poulpe est bien la star de cette 19e édition de la Coupe du monde. Du fond de son aquarium d'Oberhausen, dans l'ouest de l'Allemagne, le céphalopode peut finir la compétition le tentacule haut. Il avait prédit la victoire espagnole de dimanche soir face aux Pays-Bas, et Iniesta, à la 116e minute, lui a donné raison. Paul le poulpe est donc le champion du monde des pronostiqueurs, animaliers ou autres.




Un homme tente de voler le trophée

Un individu a pénétré sur la pelouse du stade de Soccer City, à Johannesburg, et a tenté de s'approcher de la Coupe du monde de football, dimanche avant la finale Espagne - Pays-Bas du Mondial-2010, avant d'être plaqué au sol par le service d'ordre.

Il arborait un bonnet de la couleur de l'Espagne avec lequel il a tenté de coiffer le trophée. Sept membres de sécurité l'ont plaqué au sol et évacué.

Cet incident, qui n'a pas été retransmis à la télévision, est survenu juste avant l'entrée des équipes sur le terrain, après que l'Italien Fabio Cannavaro, capitaine des champions du monde en titre, eut déposé le trophée de la Coupe du monde sur son socle.




Iker Casillas embrasse Sara Carbonero

Quand Iker Casillas embrasse Sara Carbonero en direct, ça donne ça ! Un grand moment de télévision !

C'est tellement mignon, c'est tellement chou, c'est tellement romantique qu'on ne peut-être qu'être sous le charme ! En effet, au cours de cette coupe du monde de football 2010, nous avons non seulement vécu l'aventure sportive de l'équipe d'Espagne mais nous nous sommes aussi intéressés de près à l'idylle vécue par le goal Iker Casillas et la belle journaliste Sara Carbonero.

Au tout début, Mademoiselle a eu une mauvaise presse. Elle avait été accusée d'avoir déconcentrée son chéri lors du match contre la Suisse... Qu'importe car ce fut vite oublié et, depuis, ce n'est que de leur belle idylle dont on parle...

A chaque match de l'équipe d'Espagne, Sara était présente pour commenter l'événement mais aussi soutenir son homme, alors, forcément quand cette dernière l'a interview après la victoire, hier, il n'a pas pu résister à l'envie de l'embrasser pour partager avec elle son émotion. Regardez, ça c'est un grand moment de télévision !





Applaudis par les employés de l'aéroport de Madrid, les champions du monde espagnols sont rentrés au pays,où les attend une folle journée.

L'avion des Espagnols champions du monde a atterri à Madrid, en provenance d'Afrique du Sud, peu avant 15h00. L'arrivée des vainqueurs de la finale de la Coupe du monde contre les Pays-Bas (1-0 a.p.) était suivie en direct par les télévisions, déployées en nombre à l'aéroport de Madrid-Barajas. Reporters et supporters ont dû patienter, le vol étant attendu à l'origine dès 11h30.

Le capitaine de la Roja, le gardien de but Iker Casillas, souriant mais les traits tirés par une nuit qu'on devinait blanche, a été le premier joueur à sortir de l'avion, brandissant le trophée doré du Mondial, suivi du sélectionneur Vicente del Bosque. L'avion spécial de la compagnie nationale Iberia, portant sur le fuselage les inscriptions «Champions!» et «Fiers de notre sélection», a été accueilli aux cris de «campeones, campeones!» par une foule compacte d'employés de l'aéroports sur le tarmac.

Bus à l'impériale

Les champions devraient se reposer brièvement dans un hôtel proche de l'aéroport, un marathon protoclaire et festif les attendant ensuite. Vers 16h00, ils ont rendez-vous au palais de la Zarzuela, où ils doivent être reçus par le roi d'Espagne, Juan Carlos, qui n'a pas pu faire le déplacement à Johannesburg pour raisons de santé. Ils rendront ensuite visite au président du Gouvernement, José Luis Zapatero, dans sa résidence de la Moncloa. Puis ils défileront dans les principales artères du centre de Madrid sur un bus à impériale, avant de terminer leur parade sur une grande scène installée près du fleuve Manzanares. Vers 23h00, ils sont attendus dans un restaurant de Madrid, le Meson Txistu, un lieu où plusieurs équipes espagnoles (sélection de basket, Real Madrid, etc.) ont leurs habitudes.



Les nouveaux champions du monde espagnols ont déclenché une incroyable ferveur dans les rues de Madrid.

Plusieurs centaines de milliers de fans de la sélection espagnole, en liesse, ont salué lundi soir dans les rues de Madrid les nouveaux champions du monde. Juchés sur un autobus découvert, les joueurs ont parcouru huit kilomètres à travers de grandes artères du centre ville brandissant à tour de rôle le trophée.

Une marée humaine agitant des drapeaux espagnols débordaient des avenues du centre de la capitale où le bus de la Roja peinait à se frayer un chemin, avançant au pas. A la fin du parcours, une fête est prévue sur une esplanade près du Palais royal. Cette dernière, qui peu contenir 150 000 personnes, était déjà pleine avant l'arrivée des joueurs. (Avec AFP)


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